Les Labs ,le sujet de l’Institut Européen de Stratégies Créatives et d’Innovation

Le 11 septembre « Les Labs » ont été au coeur du séminaire de l’Institut Européen de Stratégies créatives et d’Innovation.A partir d’une étude de 45 Labs mondiaux ,Marc Giget ,le président ,a dressé une analyse débouchant sur une typologie de labs et à donné la parole à quelques entreprises pour faire part de leur retour d’expérience.

Une délégation chinoise de représentants de la Mairie de Pékin était trés intéressée par les analyses et les initiatives françaises qui s’inscrivent dans le courant mondial.

En substance ,il n’y a pas de définition standard du Lab mais un objectif commun qui est de faire émerger et accélérer l’innovation.A l’instar des initiatives historiques telles les Bell Labs créés par Edison pour General Electric ,on peut distinguer 4 grandes logiques :

-celle du domaine applicatif:pour aler plus vite on focuse ses ressources sur un domaine;les projets y sont souvent d’un terme de 18 mois

-celle de la dynamique projet ,pour un renouvellement régulier des projets ,échapper aux contraintes organisationnelles,dépasser le silos et créer une dynamique transverse et multicompétences

-celle des marchés ,pour développer des partenariats locaux ,s’inspirer des méthodes et usages au plus prés des clients et des partenaires compétents …cela est en grand développement pour l’accés aux BRICS.

-celle de la coopération pour permette à des partenariats de fonctionner sans les interférences des maisons méres

Les témoignages d’entreprises présentes ont pu montrer le lien entre Labs et stratégie d’entreprise comme les Orange Labs sont en train de redéfinir leur chaine de l’innovation en lien avec la politique de Stéphane Richard ,ou les limites d’une innovation différenciée qui risque d’etre satellisée comme pour Groupama et enfin le Lab Postal qui a réussi à jouer la carte du décalage par rapport au coeur de métier de la Poste tout en restant dans une dynamique intégrée au mainstream organisationnel.Ces derniers peuvent témoigner du succés de ce Lab qui en 3 ans a révélé 40 prototypes et débouché sur 15 projets concrets.

L’advergame ,fun and money…

A l’occasion de la Conférence Jeu Vidéo & Marketing qui se tiendra à la Défense le 13 septembre procgain ,le jeu vidéo sera présenté sous toutes ses formes.

La « gamification » gagne de plus en plus de terrain. Ce mot, traduit en français par « ludification », désigne *l’utilisation de la logique et de la mécanique des jeux pour résoudre des problèmes de la vie quotidienne* et obtenir l’implication du public dans le processus. Il a, en quelques mois, envahi tous les secteurs : la santé, l’éducation, l’environnement, les politiques publiques… sans oublier les RH et le marketing. Le ludique est partout et dominera probablement les prochaines années.

Alors que 24 millions de Français passent 27 millions d’heures à jouer chaque année, le jeu vidéo apparaît comme une façon nouvelle et efficace de capter l’attention du public. Ainsi l’advergame, ou le jeu vidéo publicitaire, est l’une des illustrations de cette gamification en passe de devenir incontournable pour répondre aux besoins des annonceurs désireux d’être présents sur les nouveaux canaux de communication.

Cependant il existe bien des manières de mixer le jeu vidéo et la publicité : « In- game advertising » ou l’apparition au sein d’un jeu d’une bannière, « le placement de produit » à l’instar du cinéma ou l’intégration d’une marque dans le scénario même du jeu .

La Conférence   fera la part belle aux rencontres professionnelles et aux tables rondes pour réfléchir sur la chaine de valeur de l’advergame (et avec qui travailler?), l’intégration d’un jeu dans une campagne 360° (son coût ? sa rentabilité ?), sur les atouts qu’il offre (Acquisition? Fidélisation ? Transformation? Animation de communauté?).

Une bonne maniére de découvrir ou rafraichir sa connaissance!

Optimisation de la relation Innovation et Marketing

Pour la derniére séance du Club des Directeurs de l’Innovation ,Marc Giget a invité l’Adetem,Club des Directeurs Marketing des Grandes Enteprises , pour un interclub sur le théme croisé « optimisation de la relation Innovation et Marketing ».

Dans le lieu décalé des Voûtes aux  Frigos de  Bercy a eu lieu le 27 juin 2012 cet interclub coprésidé par Marc Giget (à droite),Jean-Paul Aimetti(au centre) et co-animé avec Jean Prévost ,conseil en innovation de la présidence Casino.

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Au cours de cette séance les différents orateurs ont analysé les raisons de succés et d’échec d’innovations au travers d’une critique objective et positive  mettant en évidence les leviers de réussite.

Pour David Garbous ,directeur marketing Lesieur ,et élu Homme Marketing 2012 pour le succès de l’huile à la Fleur de Colza,le moindre des détails a été une lutte de chaque instant pour garder la congruence autour du marketing de »l’engagement’:bouteille verte,filiére de 500 agriculteurs,sélections d’agriculeurs pour l’illustration photo de la bouteille…pour dépasser les réflexes habituels et veiller à ce que le concept ne soit pas dénaturé.

Gille Colas des Francs a témoigné sur l’importance du sponsoring au plus haut niveau comme c’est le cas chez Michelin et des risques également car il est plus difficile d’apporter critique à de tels  projets.

Jean Prévost ,ex directeur de ‘Innovation Casino,évouait le juste timing comme source de réussite pour les innovations avec l’exemple du Wonderbra ,qui a connu des échecs de commercialisation quand encore trop associés à de la corsetterie et qui s’est révélé être un succés quelques années plus tard!

Gardons pour la fin le bon mot de Jean Prévost qui a une répartition des rôles  assez pragmatique: »la réflexion au marketing,la flexion à l’innovation et le réflexe aux commerciaux »…une maniére imagée d’u interfaçage complémentaire et nécessaire pour la réussite des projets d’innovation.

La mobilité ,vision d’Orange, aux Jardins de l’Innovation

J’ai eu l’occasion d’assister jeudi  14 juin à un Cercle Premier d’Orange sur le théme de « la mobilité« .Non seulement la thématique m’interpelle dans mes fonctions actuelles mais c’était un retour aux Jardins de l’innovation des Orange Labs,ce lieu chargé de souvenirs ,pour l’avoir conçu et veillé à sa construction pendant les 5 années du projet que j’avais mené à France Télécom R&D.Drôle de hasard en ce jour avait lieu un « cercle premier » événement que j’ai conçu lors de mon arrivée dans le groupe ,au Service des Grands Comptes à la Division Entreprise ,et dont j’ai réalisé la dizaine de premiéres éditions…

Un retour aux sources accompagné de nombreuses rencontres :des collégues de Orange encore en poste là où ils étaient quand j’ai quitté Orange pour L’Oréal mais aussi certains qui ont quitté le groupe et font partie de mon écosystème personnel sur l’innovation et les technologies.Une thématique qui s’annonçait prometteuse il y a quelques années et qui atteint aujourd’hui le seuil de développement  et de généralisation.

Parmi les thémes abordés celui concernant les limites entre viepublique/vie prvée m’a interpelée par la justesse d’analyse.Vous pouvez la retrouver dans le livret coédité par Bearing Point et Orange Business Services « Dilemne pro/perso « ..vous saurez tout du BYOD (Bring your Own Device,des possibilités de « split facture »…autant de nouveaux usages auxquells les entreprises commencent toutes à etre confrontées..et tous les salariés!.

Par la FING "La confiance numérique"pour refonder la relation entre les organisations et les individus.

« Les entreprises doivent réapprendre à faire confiance à leurs clients comme à leurs collaborateurs. Cela exige des changements d’attitude et de management. » La confiance numérique. De nouveaux outils pour refonder la relation entre les organisations et les individus. de Daniel Kaplan et Renaud Francou La confiance dans la société et l’économie numérique alimente de multiples discours, lois, programmes de recherche et investissements. Mais cette mobilisation doit changer de cible, car aujourd’hui, la confiance est en crise.

Il est fondamental de se concentrer sur la production même de la confiance au lieu de se focaliser sur les risques et la sécurité. Face à certaines pratiques des organisations (industrialisation de la relation client, usage immodéré des données personnelles sans aucun retour aux individus, surprotection, etc.), alors même que surgissent un peu partout de nouveaux espaces numériques dans lesquels la confiance naît de l’interaction entre individus (forums de patients ou d’entraide entre clients, sites d’évaluation de produits ou de restaurants, réseaux sociaux ou de rencontre, etc.), il est urgent de créer de nouvelles approches de la confiance. Comment créer des systèmes de confiance qui correspondent aux attentes et aux pratiques réelles des individus ? Comment éviter que la sécurité ne détruise la confiance ?

 Cet ouvrage propose des clés pour les entreprises, les administrations et les régulateurs, en s’appuyant sur quatre leviers principaux : les dispositifs et les tiers de confiance ; la confiance « de pair à pair » ; la relation ; l’outillage des individus. Un ouvrage essentiel qui propose des pistes concrètes d’innovation, d’action collective et de recherche, pour transformer en profondeur le paysage de la confiance.

Biographie des auteurs : Daniel Kaplan est délégué général de la Fing (Fondation internet nouvelle génération), depuis sa création, en 2000. Dès 2003, il est désigné par la presse comme l’une des « 100 personnalités qui font vraiment bouger la France ». Depuis les années 1990, il est profondément impliqué dans le développement de l’internet en France et dans le monde. Il a écrit ou dirigé plus de quinze ouvrages et rapports publics.

Renaud Francou a rejoint la Fing en 2003 comme chef de projet. Il a copiloté les projets « Identités actives » et « Confiance », co-animé la démarche de prospective « Questions numériques » et participe à l’animation du dispositif PACA Labs, destiné à soutenir les projets expérimentaux en région Provence-Alpes-Côte d’Azur.

Broché : 160 pages, 14 euros TTC Éditeur : FYP Éditions Collection : La fabrique des possibles Mots clés : Marketing – management Langue : Français EAN 13 : 978-2916571737 La confiance, une valeur en crise Le lien qui unissait les organisations et les individus s’effiloche de jour en jour. La crise frappe aujourd’hui les médias, les institutions, les banques, les services publics, en butte à la méfiance de leurs clients ou usagers.

Et pour cause… Avec la déshumanisation de la relation clients, les entreprises et les institutions sont entrées dans une relation asymétrique avec leur public. Suréquipées et surprotégées, elles réutilisent abondamment les données personnelles des individus…

Ceux-ci réagissent par la défiance, le désengagement ou le désintérêt. La confiance, un lien à recréer Si les causes de cette rupture sont connues depuis longtemps, les solutions tardaient. Renaud Francou et Daniel Kaplan, respectivement chef de projet et délégué général de la Fing (Fondation internet nouvelle génération), les apportent dans un livre novateur, fruit d’un an d’études indépendantes menées par la Fing et la Fondation Télécom.

Ils proposent un modèle différent de relation entre organisations et individus : un modèle symétrique, de « pair à pair », comme celui qui lie les utilisateurs du monde numérique. L’ouvrage débute par une analyse approfondie de la notion de confiance à travers l’histoire.

Schémas précis à l’appui, il étudie ses différentes formes et explique les causes profondes de la rupture actuelle du lien de confiance envers les organisations : perte de légitimité des instances, industrialisation de la relation, emploi abusif des données personnelles… Puis le livre identifie 4 leviers de changement pour restaurer la confiance : – les dispositifs et tiers de confiance ; – la relation ; – la confiance « de pair à pair » ; – l’outillage des individus.

La seconde partie du livre les met en pratique, en proposant des pistes d’innovation, de recherche et d’action collective, inspirées du meilleur du monde numérique. Un scénario présente chaque piste à travers des situations quotidiennes. Ce sont autant de solutions concrètes, à l’épreuve du réel, que Renaud Francou et Daniel Kaplan apportent aux professionnels comme au grand public. Partager : Facebook inShare.

Comment passer de la donnée client à l’intelligence relationnelle?l’exemple de Casino :du timbre fidélité à la big data

J’ai assisté cette semaine à une conférence sur le thème de la big data organisé par les Echos et le cabinet Cap Gemini.Intéressée par les questions traitées « jusqu’où la technologie peut-elle renforcer la connaissance client? »et « comment peut-on faire de l’intelligence relationnelle un accélérateur de conquête et de fidélisation » qui se posent à chacun aujourd’hui j’ai particuliérement apprécié certains témoignages qui sont venus attester des progrés rendus aujourd’hui possibles par la technologie et notamment Casino.

Le cas de Casino ,présenté par Stéphane Bout ,le Directeur des Systémes d’Information du groupe Casino, montre a quel point la technologie est en train de bouleverser le métier de retailer.Premier distributeur,historiquement, à avoir pratiqué les primes fidélité avec les fameux « timbres  » ,Casino entre aujourd’hui dans l’ére du « commerce de précision« .En intégrant la connaissance fine du client ,en consolidant les informations clients au travers de toutes les interventions et en donnant des services nouveaux et à valeur ajoutée au client Casino veut créer une expérience d’achat prolongée »

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L’entreprise ,et donc le SI,qui étaient orientés  » produit » sont aujourd’hui totalement orientés « client » .Cela étant ces données clients viennent ,non pas se substituer ,mais s’ajouter à celles des 500 00 produits ,combinées avec plusieurs modalités pour proposer une offre personalisée. La « liste de course électronique » testée sur Montpellier regroupe les bénéfices concrets de cette « continuité de l’expérience » recherchée : je fais ma liste sur mon ipad ou téléphone au bureau,je l’actualise dans ma cuisine poyr les renouvellements de produits,je la compléte avec les suggestions de mon magasin pour les promotions de saison et quand j’arrive au magasin le »self scanning » me permet de constituer mon panier à moindre efforts.Ces courses rêvées n’auraient pu être possibles sans la gestion de milliers de données et les capacités nouvelles de traitement en temps réel.

Un trés bel exemple d’avancée technologique et d’usage client …néanmoins se pose la question de la  la transformation du « retailer » mais aussi l’évolution du métier « d’épicier »…de même que pour Air France celui d’hôtesse de l’air…et les gréves du jour nous montre la puissance nouvelle du traitement des données et la précision des informations données au client mais le difficile nouveau rôle à tenir pour les métiers de proximité…un beau sujet pour une nouvelle conférence!

Grands Prix de L’Innovation 2011 de la Ville de Paris

La cérémonie de remise des Grands Prix de l’Innovation 2011 de la Ville de Paris s’est tenue jeudi 1ier décembre au Palais Brongniart et a réuni plus de 1000 personnes.

  PwC est partenaire pour la 2ème année consécutive ce concours soutenant le développement d’entreprises franciliennes innovantes, dans des secteurs en forte croissance (santé biotech, design industriel, éco-innovations, numérique, services innovants). Jean-Christophe Saunière, associé en charge de l’Innovation au sein de PwC, a remis avec les membres du jury le prix de la catégorie Santé/Biotech à Axenis. Voici la liste des gagnants par catégorie:

Santé / Biotech: AXENIS Axenis crée des souris chimériques porteuses de tissus humains. Cette solution présente des atouts majeurs pour la recherche et le développement non seulement de vaccins efficaces et de médicaments mais aussi de nouvelles stratégies thérapeutiques contre les agents pathogènes et les pathologies impliquant le système immunitaire.

  Design industriel: ON/OFF 3.14 INNOVATION Une fois la peinture ON/OFF appliquée au mur, celle-ci permet par simple toucher de détecter un ordre souhaité par l’utilisateur, afin de commander un équipement électrique. Cet «interrupteur peut occuper toute la surface d’un mur. Il suffit de toucher le mur pour valider une action.

Eco-Innovations: SOLAIRE 2G Solaire 2G travaille sur une nouvelle solution technologique qui permet de faciliter la production d’énergies renouvelables par un immeuble : le système solaire 2 en 1. Ce système, beaucoup plus rentable qu’une installation solaire classique, fournit à l’aide d’un seul panneau solaire de l’eau chaude et de l’électricité au bâtiment.

  Numérique: ADN ADN crée des modèles en images de synthèse de personnalités existantes ou disparues, pour les marchés du cinéma, de la publicité et du jeu vidéo. Les doublures numériques reproduisent de manière indiscernable l’apparence et le jeu de célébrités, y compris sur des plans serrés et pour des durées importantes qui ne peuvent être opérées par des moyens traditionnels.

Services innovants: DEAFI L’offre DeafiLine propose une plate-forme d’appels adaptée aux sourds et aux malentendants, offrant 8 canaux de communication autonomes : webcam, visio3G, tchat, SMS, email, formulaire, fax et courrier. Pour compléter ce dispositif, DEAFI propose la création du métier de Vidéo Conseiller Client (V2C).

Pour plus d’informations sur l’événement, consultez le site des Grands Prix de l’Innovation: www.innovation-paris.com

Inventer de nouvelles pratiques et cultures d’innovation entre l’occident et la Chine

Quels sont les secrets de l’innovation  qui réussit?quel est le modéle de la Silicon Valley qui enfante des géants de la capitalisation boursiére et de la transformation du monde (Apple,Google,Facebook,Microsoft)et celui de la Chine qui caracole sur une croissance qui nous fait envie,nous Européens?

Cette conférence organisée par Kea Partners et Tilt Ideas ,introduite par les dirigeants respectifs Marc Smia et Brice Auckenthaler ,a réuni ,sous la modération experte de Michel de Grandi , journaliste aux Echos et correspondant du journal à Pékin et Tokyo de nombreuses années ,des experts des 2 parties du monde.Il a été rappelé que « crise » en chinois signifie « opportunité » …et que nous traversons donc ,pour les chinois ,une période « d’opportunités »!

Alain Dupas,tout d’abord ,spécialiste des relations ente statégies et technologies ,co-auteur de »la grande rupture?l’humanité face à son futur technologique? »,analyse la réussite de la Silicon Valley au filtre de critéres comme :

-un fondateur toujours aux commandes :Bill Gates,Larry Ellison..qu’adviendra-t-t- il d’Apple après Steve Jobs?

-la volonté de domination d’un secteur économique :une visée financiére

-un but partagé « transformer le monde » …une ambition trés occidentale au regard de la transformation souterraine asiatique!Pour Bill Gates c’est la prophétie d' »un ordinateur  par piéce » ,pour Steve Jobs ,c’est ‘penser différemment »…chacun veut agir sur le monde …et cette ambition porte leur vision .

Pour Alain Dupas ,quelques »recettes » d’innovation configurent cette culture de l »innovation :

-une hiérarchie écrasée,

une organisation à géométrie variable,

-un cycle de décision court,

-une priorité aux activités créatives et productives

-une part du temps consacré à la créativité

-un environnement « cool » et « convivial »

Apple est la référence absolue en innovation produit et Microsoft pour l’organisation…

Ainsi va l’analyse de mIchel Dupas …je confronterai cele de Cheng Li dans un prochain billet!

Coup de Zoom sur "Chavirés" d’Eric Loizeau

« Marin d’abord, alpiniste ensuite, mer montagne sont mes univers de prédilection réunis autour du cycle de l’eau qu’il convient de préserver sur notre si belle planète… » Voici une belle description de qui est ce pour quoi vit Eric Loizeau.

Connu pour avoir été un des grands skippers des années 1980 il est avant tout navigateur mais également alpiniste français depuis 1990, il a gravi le mont Everest en mai 2003 et est l’organisateur du Trophée Mer Montagne : le 20ème trophée à eu lieu cette année du 31 janvier au 3 février http://www.trophee-mer-montagne.com/la_course/accueil/.

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Eric Loizeau nous offre après deux ans d’enquêtes et d’écriture un recueil de récits des chavirages de ses amis navigateur. Dans « Chavirés », paru le 27 avril 2011, il a rassemblé les témoignages, les récits, et les nouvelles de navigateurs célèbres, Eric Tabarly, Loïc Caradec, Jean Maurel ou encore Paul Vatine.

Chaque chapitre recense les circonstances du chavirage, la carte de situation, les caractéristiques du bateau et son histoire, l’équipage et le skipper. « Le terme chavirage s’apparente la plupart du temps à une fortune de mer, une aventure incertaine dont aucun marin ne revient intact…quand il revient…. », nous dira-t-il.

Au delà de son tout nouveau recueil, je vous invite à découvrir son blog mis à jour régulièrement : http://ericloizeau.blogspot.com/, vous y retrouverez également ses titres et victoires. Sur ce même blog il fait profiter aux lecteurs de son expérience sur la « force mentale » et le « dépassement de soi », acquis au cours de ses différentes expériences.

Avec sa société ELO (Eric Loizeau Organisations) http://www.elo.fr/ il organise séminaires et conventions d’entreprises autour du « team-building » et la RSE et de beaux voyages à thème dans différents pays du monde. Conférencier, il est aussi intervenant à l’école Sciences Po .

Lettres Convergence: De Johannes Gutenberg à Steve Jobs-Chronique d’une mutation annoncée

Bearing Point est un cabinet de conseil indépendant dont le cœur de métier est le Business Consulting. Il s’appuie sur la double compétence de ses consultants en management et en technologie.

Tous les deux mois, BearingPoint publie « Lettres Convergence » celle-ci se concentrent principalement sur des problématiques concernant les secteurs des Télécoms, des Média et des Utilities, en abordant des sujets aussi divers que le développement durable ou la distribution.

J’attire votre atention sur la qui lettre porte sur le thème « De Johannes Gutenberg à Steve Jobs-Chronique d’une mutation annoncée ».
La question est de savoir si Steve Jobs est en train de devenir le Gutenberg du XXIème siècle, en effet la technologie sert enfin à la lecture et pourrait faire naitre de nouveaux usages pour le grand public (exemple avec le marché des tablets).

1451 & 2010. Du génie et de l’audace dans l’assemblage Steve Jobs à favoriser l’adoption en masse de l’édition numérique grâce à la vente de plus de 15 million d’Ipad vendu dans le monde en 2010.

2011, l’année du passage à un marché de masse ? Le marché du livre numérique à été lancé fin 2007 avec 8 millions d’exemplaires vendus (8 à 10% du marché du livre aux Etats unis). La concurrence accrue dans ce domaine, permet aux consommateurs des produits performants à prix abordables. Aujourd’hui en France 80 000 ouvrages sont référencés.